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mai 09, 2025, 00:56:08
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AuteurSujet:   Monsieur le directeur  (Lu 82570 fois)

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Hors ligne Eric
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #225 le: février 20, 2025, 21:43:34 »
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #226 le: février 21, 2025, 12:52:01 »
"Ben",Rebecka de Barbier de la Serre
À toute à l'heure !
 

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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #227 le: février 22, 2025, 10:31:59 »
Quatre jours se sont écoulés, quatre jours de recherches infructueuses et frustrantes. Alors certes Cathleen et Kaïros ont peut être trouvé la serrure des bagues mais ne l'ont pas branché  mais c'est bien tout. Pour le reste vous avez la tête remplie d'écrits et de formules auxquelles vous ne comprenez rien.
Ce qui est plus clair pour vous par contre, c'est le gouffre énergétique de cette maison: car oui, vous avez pu voir avec Théodore l'endroit ou il stocke les palets de lithium ainsi que l'appareil qui les transforme en énergie et vous rendre compte du débit de celle ci.
Certains auront appris aussi que Firmin est le responsable du dépôt de lithium de la capitale, qu'il travaille pour l'Ordre et qu'il met une mauvaise volonté évidente a livrer en temps et en heure, les palets nécessaire a
Théodore. Ce dernier jonglant sans arrêt pour maintenir constant l'énergie des machines miniaturisant la savane et la mangrove.
Quatre jours remplit d'amour aussi pour certains, et de celui d'Opale pour tous ! Maintenant que la petite ne craint plus rien ses capacités s'expriment pleinement. Et même si elle est limitée par son corps humain, son esprit lui semble ne plus connaître de limite.
Tout comme l'amour inconditionnel qu'elle vous porte . Il lui suffit de vous voir pour qu'un magnifique sourire se dessine sur son visage et qu'elle vous saute au cou.
Étrangement.. elle a réussi à mettre dans sa poche Théodore qui sous des airs bourrus est incapable de résister dès qu'elle penche la tête pour demander quelque chose.
Cependant, et vous le saviez tous, cette halte ne pouvait se prolonger et Anton, Ben et Eric sont sur le départ .
Devant le perron les chevaux de Théodore attendent, fringuant que leurs cavaliers veuillent bien les monter pour démarrer.


Cathleen
Anton
Devant toi, Anton se permet de glisser ses doigts dans tes cheveux pour discipliner la mèche rebelle qui te tombe dans les yeux :

<murmure:>Je reviendrais aussi vite que possible. D'accord ? 
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Hors ligne Rebecka de Barbier de la Serre
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #228 le: février 22, 2025, 14:05:11 »
C'est une chance, je pense, de pouvoir se réhabituer tranquillement à la vie d'ici. Un problème à la fois, et la politique nous attendra encore un petit peu.
Quel bonheur, également, de voir la petite Opale, grandissant si vite - trop vite - amener la joie daans notre groupe si disparate.

Je me demande ... quand Crysa sera avec nous en public, qu'en sera t-il de sa fille ? Quelqu'un va finir par remarquer sa situation, forcément.

Mais il est temps de se séparer. Certains repartent, et c'est pour tous que je m'inquiète. Peut-être ... peut-être plus pour Eric que vous les autres. Le pauvre semble parfois perdu, et c'est en partie ma faute ... je ne peux m'empêcher de culpabiliser. Mais la culpabilité n'est pas un sentiment, mes pensées ne changent pas.

En tout cas, c'est à lui que je m'adresse, lorsque je leur lance :

Soyez prudents, tous les trois.

 

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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #229 le: février 22, 2025, 18:23:35 »
Le paradis n'est pas sur Elpos... même s'il en est venu. Jusqu'ici.
Si l'on m'avait dit qu'un jour je dirai ça du manoir du Directeur, j'aurai clairement remis en cause la santé mentale de l'annonceur.
Aujourd'hui, je sais que miracle(s) existe(nt) -et les ai rencontrées-. Quelques jours de félicité.
Une journée de cheval, cela me ramènera les pieds sur terre (et les fesses, aussi...).

J'embrasse la petite en lui rappelant recommandation TRES importante, de ne pas prendre les escaliers sans donner la main à quelqu'un !
Puis prends la grande dans mes bras en lui laissant le temps de s'en défaire... quand elle le voudra bien, murmurant à son oreille :
<murmure:>...À dès que possible. Promis.


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« Modifié: février 22, 2025, 19:08:04 par Rhajzad »

Hors ligne Eric
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #230 le: février 24, 2025, 22:39:25 »
Je salue tout le monde une dernière fois.

J'espère vous revoir vite. Promis, je veille sur ceux que je vais accompagner.

Je serre, si elle le souhaite, Opale dans mes bras, et fait un grand geste de la main avant de monter sur mon cheval et de partir. Le cœur un peu serré de quitter le groupe que j'avais accompagné depuis si longtemps et avec qui j'avais tant vécu... Enfin, une partie du groupe. J'étais toujours avec Ben et l'Empereur, au moins pour le moment, c'était quelque chose !
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #231 le: février 25, 2025, 12:17:29 »
J’aime lire. Assurément.
Farfouiller dans des documents plus que moins abscons, nettement moins.
Je m’attèle néanmoins consciencieusement à la tâche non sans profiter au maximum du délais de grâce qui me fut accordé avant ma séparation d’avec Anton.
Être prête à jouer la comédie devant la cour, c’est s’y préparer dès maintenant.
C’est pourquoi, dès à présent, je prends sur moi de réserver les moments de tendresse, à la plus stricte intimité.

Ce que je contiens vis-à-vis d’Anton, je l’offre sans réserve à Opale, notre joie de tous les instants, ne me lassant pas de ses sourires et de ses câlins.
En l’observant jouer, je me surprends même à penser qu’elle serait encore plus heureuse, si elle n’était pas seule….

Le jour de la séparation arrive et ce n’est pas sans un déchirement que je dois faire mes aurevoirs à l’homme qui occupe mes pensées,
mais aussi à ceux avec lesquels j’ai tout partagé de ma vie depuis si longtemps.
Le cœur gros, je les serre un à un dans mes bras, dans une longue étreinte. Terminant par Anton.

— Ça va aller ne t’inquiète pas. Nous avons fort à faire, et je serai bien entourée.
Promets… non promettez-moi… nous tous les trois, d’être aussi prudents que possible.
Nous savons qu’il y aura des risques, et qu’il faudra les affronter. Ça ne signifie pas, aller au-devant d’eux.


Je m’étais promise d’éviter tout épanchement en public, mais ce doux geste dans ma chevelure à tôt fait de faire s’effondrer ma retenue.
Mes mains se posent sur ses joues, les caresses avant que mes lèvres ne s’emparent brièvement des siennes.
Rouge comme une pivoine, comme prise en faute,

— Ce n’est pas tant la séparation qui me hante que le fait de savoir que nous serons à l’abri et vous pas.
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #232 le: février 25, 2025, 12:30:29 »
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Crysa
Je suis sure qu'il n'était pas comme cela avec toi .. aussi coulant ..
En effet le strict directeur semble passer sur toutes les fantaisies de la petite...Et est souvent le premier à la défendre quand sa mère la reprend...

Je ne sais pas vous...Mais je n'ai pas envie de me replonger tout de suite dans cette paperasse ignoble auquel je ne comprend rien.
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #233 le: février 25, 2025, 12:44:16 »
Alors que nos "hommes" s'éloignent, je passe un bras réconfortant autour de la taille de Crysa.
— On va tellement s'occuper qu'on ne va pas voir le temps passer, et que l'on n'aura pas non plus le temps de s'inquiéter.
A la différence que Crysa n'aura pas pour seule compagne la solitude nocturne contrairement à moi.
A cette pensée, mon visage se rembrunit brièvement.


Crysa
Je suis sure qu'il n'était pas comme cela avec toi .. aussi coulant ..
En effet le strict directeur semble passer sur toutes les fantaisies de la petite...Et est souvent le premier à la défendre quand sa mère la reprend...

 


Loin d'être jalouse, ou prise de regret. Je regarde mon père d'un air attendrit.
— C'est vrai. Pourt sa défense, il savait dés avant ma naissance à quoi il devrait me préparer.
Grâce vous soit rendue à toutes les deux, je sais désormais quel excellent grand-père il fera.
Les mots sont sortis sans que je puisse les retenir.

Bien vite, j'ajoute,
— Aujourd'hui, on va se reposer un peu. Vous n'avez même pas encore fait le tour du domaine.
Ca vous dit?
« Modifié: février 25, 2025, 12:45:52 par blackclaw »
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #234 le: février 25, 2025, 20:09:28 »
Mais ..

Je pense à tous ces livres encore inexplorés. Certes, la plupart sont barbants, mais ils racontent des pièces d'histoire ... Oh, c'est bon, je vois bien la tête que font Crysa et Cathleen, elles veulent un répit, et je serais vache de m'y refuser. Profitons de ces moments, tant qu'on le peut encore.

Allons visiter ces jardins. Tu nous présentes ce petit coin de paradis ?
 

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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #235 le: février 25, 2025, 21:29:46 »
Crysa
Avec plaisir ! Voir un peu dehors, le soleil, sans rien craindre.. c'est simple mais tellement agréable !

Alors que vous descendez quelques marches, c'est une petite fille aux yeux brillants qui coure vers vous les bras tendus et les mains bien fermées :

Opale
Maman ! Caline ! Becka ! Garde! un optaire !

Les yeux pleins de joie et un grand sourire aux lèvres la petite ouvre les mains dévoilant un petit scarabée , nullement dérangé et qui continue à se promener sur la peau de la petite.. cependant, quand il en vient à toucher celle noircie de ses antennes... il recule soudain et fait demain tour.. Ce qui n'enlève rien à la fascination d'Opale pour la petite bête. Mais provoque chez sa mère un froncement discret de sourcils.

Crysa
<murmure:>Vous avez vu ce que je viens de voir ?
« Modifié: février 25, 2025, 22:48:38 par moontaz »
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #236 le: février 26, 2025, 11:51:10 »
Le plaisir de faire découvrir le domaine à ces Dames, et je leur réserve encore quelques surprises, me mets un peu de baume au cœur.
Mais il doit être écrit quelque part que la légèreté, l'insouciance, même pour un court laps de temps, ne nous sera pas accordée.

Mes yeux se froncent en voyant le manège du coléoptère tout en espérant que Crysa ne l'a pas remarqué. Las...
Les yeux aguerris d'une maman sur le qui-vive ne s'en laissent pas compter facilement, même quant son esprit est préoccupé.

<murmure:>— Oui, et.. je ne sais quoi en penser.
Me voulant néanmoins rassurante,
<murmure:>— Peut-être une différence de ressentis au contact. Les pattes de ces petites créatures sont bien plus sensibles que nos doigts.

 
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #237 le: février 26, 2025, 15:04:33 »
Crysa
<murmure:>Oui ..tu dois avoir raison !

De toute façons ,Opale est déjà repartie en refermant sa main auprès de Théodore pour remettre la petite bête dans les fleurs.
Crysa
Fait nous découvrir les merveilles de ce lieu, on a toutes besoin d'un peu de rêve je crois !

Et la main de la jeune femme vient se tendre vers celle de Rebecka, pour ne pas la laisser en retrait.
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #238 le: février 26, 2025, 19:58:27 »
<murmure:>Ça ne m'a pas l'air bien grave. Sa peau est différente à cet endroit, ça a surpris l'insecte.

Je prends sans me faire prier la main de Crysa, la suivant avec bonne humeur. Certes, je serais bien restée enfermée à lire les livres, mais il faut profiter du grand air. Et de mes amies.
J'ai de la chance de les avoir rencontré.
 

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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #239 le: mars 02, 2025, 15:44:38 »
Comment une aussi petite créature peut-elle provoquer une telle onde de choc ?
Passablement troublée, je me note dans un coin de la tête, d’en parler en privé avec mon père.
Connaît-il une personne versée dans les arts de la médecine et suffisamment de confiance pour examiner Opale ?
Après avoir déposé un baiser sur la joue de ce dernier, lui soufflant,
<murmure:>repose-toi un peu, pendant que nous sommes dehors,
j’entraine mes amies et Opale dans mon sillage.

Je sais que nous sommes ostensiblement, outrageusement riches, mais je tiens à présenter ce lieu auquel je tiens tant, avec les mots de l’amour que je lui porte, sans en rajouter.
— Nous allons commencer par le parc devant le château.
Pour être honnête, c’est la partie du domaine que j’apprécie le moins.

Nous suivons telle ou telle allée, et je m’arrête à certains endroits pour leur permettre d’admirer, là un parterre de rhododendrons, allant du blanc, au lilas en passant par un pourpre profond.
Le plus ancien, dépasse désormais les 5m, offrant, en son cœur, un espace ombragé très agréable en cas de grosses chaleurs.
Ici des pivoines abritées du vent par une haie de Laurier cerise.

— Bien sûr c’est très beau, mais tout y est millimétré. C’est pour l’apparat, les rares fois où nous recevons.
Tout doit être plus beau, plus « apprivoisé » que chez le voisin.
J’en reconnais la nécessité politique, tout en préférant les autres parties du domaine ou les visiteurs se rendent peu, à moins de faire partie des intimes.


Je prends néanmoins mon temps, pour les laisser profiter d’un endroit néanmoins enchanteur, consciente aussi que ce moment de répit pourrait bien être le dernier avant longtemps.
Chaque halte à chacune des nombreuses fontaines, bassins entourés d’un écrin de verdure, est l’occasion de voir Opale s’extasier devant la diffraction des rayons du soleil au contact de l’eau.


Après une longue flânerie et la récolte de fleurs pour composer un bouquet, nous contournons le château par l’est, pour arriver sur les serres, réservant les écuries, à l’opposé, pour la fin.
Quelques bosquets, entre-autre composés de cerisiers er d’ifs, au milieu desquels nous serpentons, apportent un peu de fraicheur, pas désagréable.

— Les serres que vous apercevez là-bas, abritent pour la plupart des légumes fragiles nécessitant une atmosphère contrôlée sous nos latitudes.
Nous nous approvisionnons, néanmoins au village pour beaucoup.
Par contre la serre qui est un peu à l’écart au milieu de la pelouse est en fait une salle d’arme !


L’on peut également apercevoir de l’autre côté, un bâtiment prestigieux, c’est bien le mot, dont je ne dis mot pour le moment.
Nous traversons les serres, admirant de nombreuses plantes aromatiques, des tomates malheureusement encore loin du murissement et autres fruits et légumes aux couleurs variées.
Je réponds autant que faire se peut à toutes les questions qui pourraient m’être posées.
Je m’arrête devant un parterre vert, à même le sol, au travers duquel il est possible d’apercevoir quelques reflets rouges. J’écarte délicatement quelques feuilles pour révéler un fruit rouge.

— Ca Opale, se sont des fraises. J’en raffole. Quand j’avais ton âge, à la période des fraises, qui commence tout juste, je m’échappais du château pour venir en manger jusqu’à plus faim.
J’en cueille délicatement une des rares suffisamment mûres pour être mangée, et la lui tend. Goute-moi ça, je suis sûre que tu vas adorer.
Je parviens difficilement à en trouver quelques-unes que nous pouvons goûter nous aussi.
Dans une semaine, il y en aura suffisamment pour faire plein de tartes et de la confiture. Dehors nous avons aussi des mûriers et des framboisiers, mais ils ne donnent rien en ce moment.

Une fois la deuxième serre visitée, nous revenons un peu sur nos pas, tout en obliquant vers la plus grande, la fameuse salle d’arme.
Si je sens que cela intéresse moins mes amies, la visite se fera rapidement, jetant un œil aux armes, d’apparat pour certaines, d’un usage bien réel pour la plupart.

—  Je ne suis guerre versée dans les arts de l’escrime, dis-je en sortant par l’arrière de la salle ou sont exposés des arcs.
Par contre, je manie plutôt bien ceci.
Je caresse le bois parfaitement entretenu de l’un d’entre eux, d’un air nostalgique.
— C’est avec celui-ci que je m’entraîne, sur le pas de tir, situé dehors derrière cette serre.
Et effectivement, nous pouvons voir en sortant, quelques cibles, plus ou moins éloignées disposées sur une espace plane, parfaitement dégagé.

Au lieu de continuer à longer le château, je prends un sentier, débutant sur l’arrière du pas de tir, en direction du bois qui ceinture l’arrière du domaine.
Après avoir longé un espace sauvage propice aux mûres, une trouée permet de pénétrer dans le bois.

— Je dois faire un petit détour, nous n’en aurons pas pour longtemps.
Les arbres sont suffisamment rapprochés pour que la canopée masque presque totalement le ciel, n’offrant que de rares espaces aux rayons du soleil.
J’avance sans hésitation, le pas sûr suivant un chemin que je connais visiblement sur le bout des doigts.
A un moment je m’arrête à la hauteur d’un bosquet dans le bois. Des arbres plus petits, extrêmement fins, les troncs très rapprochés. La canopée ne semble pas du tout gêner leur pousse.

— Ce sont des noisetiers. Ils donnent des fruits entre la fin de l’été et l’automne. Je montre quelques fleurs finissant de sécher à Opale.
Ce sont ces fleurs qui donneront les noisettes. Tu pourras y gouter quand nous retournerons au château, ils sont aussi bons secs que frais.
Nous reprenons notre progression, nous enfonçant encore plus dans le bois. Mon rythme cardiaque s’est un peu accéléré, ce qui peut se voir aux mouvements plus rapides de ma poitrine.
Pourtant je ne semble pas le moins du monde essoufflée. Un peu plus loin, légèrement sur notre droite, un puit de lumière signale une clairière vers laquelle je me dirige.


Je m’arrête à la lisière, n’osant avancer plus. Sans surprise, la clairière est toujours parfaitement entretenue, tranchant avec l’aspect sauvage du bois à traverser pour l’atteindre.
Légèrement excentrée, en retrait par rapport à nous, la statue d’une femme d’une grande beauté semble veiller sur les lieux. Nul bruit autre que le gazouillis des oiseaux.

— Je vous présente ma maman. Spéranza.

Précautionneusement, comme craignant d’abîmer le tapis d’herbe et de mousse qui recouvre le sol, j’avance vers la statue, m’agenouille mon bouquet à la main.
Après un long moment de silence, je dépose soigneusement les fleurs à ces pieds.

— Bonjour mère. Pardonne-moi de t’avoir laissée seule si longtemps. Je reviens d’un voyage que j’ai bien cru sans retour.
Toi et Rose étiez les phares qui m’ont guidées, m’ont permis de ne pas perdre espoir.
Je suis revenue avec de lourdes tâches à accomplir, c’est pourquoi je ne pourrai malheureusement pas venir te voir aussi souvent que je le voudrais.

Je pose ma main sur mon cœur.
— Vous serez toujours-là toutes les deux, tout près de moi. Parmi ces lourdes tâches dont je viens de te parler, il y a s’assurer que mon frère, ton fils est toujours en vie.
J’avais besoin d’en parler, et père ne peut entendre cela. Pas tant que nous ne serons pas sûrs que c’est vrai et qu’il y a un moyen de le sortir de là ou il est.


Je me relève, me tourne vers mes amies, leur faisant signe de me rejoindre, si elles n’ont osées avancer à ma suite.
Je les prends l’une et l’autre par la main, après avoir invité Opale à se mettre devant moi.

— Tu peux être rassurées sur un point. Je ne suis plus seule.
Je n’ai jamais été aussi proche de père. Comment ai-je pu être sotte au point de croire qu’ils ne se souciait pas de moi?
Et puis mon long voyage à Elpos, je ne sais si tu connais son existence, m’a offert une nouvelle famille de cœur.
Alors je voulais absolument de les présenter pour que tu voies la chance que j’ai eu de rencontrer d’aussi belles personnes.
Tout d’abord, voici Rebecka, dont je t’ai tant parlé mais que tu n’avais encore jamais rencontré.
Nous étions amies, notre voyage en Elpos a créé des liens entre nous que rien ne saurait détruire.
L’autre délicieuse personne à côté de moi, c’est Crysa. Nous nous sommes rencontrés à Elpos
Devant moi, c’est Opale, l’adorable petit bout de chou de Crysa. Pour elle, elle a tout quitté, et nous lui devons beaucoup.
Je me battrai comme une lionne pour elles s’il le faut.
Et puis, mon cœur a cessé de saigner. Pavel, mon Pavel s’avère être Anton, mon fiancé de toujours et nous nous sommes jurés que plus rien ne nous séparerait.
Nous allons tous être fort occupés, mais je reviendrai te voir aussi souvent que possible.
   

Lâchant les mains de mes amies, je m’approche de la statue, caresse l’ovale de sa joue.
<murmure:>— Je t’aime.
A regret, je fais demi-tour. 
—  Je crois qu’il est temps de rejoindre le château.
 
Nous ressortons du bois comme nous sommes arrivées.
De là je pars droit sur le bâtiment qui se dresse sur le côté du château par lequel nous ne sommes pas encore passées.
Appréciant le retour de la chaleur du soleil, après la relative fraîcheur du bois, c’est d’un ton léger que je m’adresse à mes amies.

— J’ai gardé le meilleur pour la fin. Ce bâtiment est l’une des grandes fiertés de mon père. Ce sont nos écuries qui abritent parmi les plus beaux chevaux de l’Empire.
Alors que nous entrons, une forte odeur animale nous saisit, pas désagréable, les lieux étant très bien entretenus et les chevaux bichonnés comme il se doit, mais probablement surprenant pour qui n’a pas l’habitude.
Nombre d’équidés, plus magnifiques les uns que les autres, sont présents et je fais les présentations en remontants les écuries vers l’entrée opposée.
Montrant une stalle vide,

—  ici il y avait deux poneys quand j’étais petites et çà, je montre alors un adorable attelage miniature entièrement équipé pour être tiré. C’était mon attelage quand j’étais petite.
Si il te plait, nous ferons le nécessaire pour que tu puisses l’utiliser.

Je regarde Opale en souriant.
En attendant que tu sois assez grande pour apprendre à monter à cheval.
 
Lorsque nous ressortons des écuries, je ressens un coup de fatigue, souvenir d’une nuit peu reposante.
Que diriez-vous d’une bonne tasse de thé, accompagnées de scoones ?
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #240 le: mars 03, 2025, 11:55:35 »
Une ballade au soleil et au milieu des fleurs, voila qui met du baume au coeur, surtout qu'Opale semble adorer ce moment.. allant sentir chaque fleurs, demandant ce que c'est, s'ébahissant devant chaque insectes,chacune des petites bêtes que vous croisez.
Une joie simple, un bonheur facile et léger.
Mais quand vous arrivez à la statue, qui dégage une impression de sérénité empreinte de mélancolie, l'atmosphère change. Doucement Crysa vient à tes cotés et pose sa main sur ton épaule en un geste de réconfort.
 Si c'est ton frère, on le ramènera ici. Auprès des siens, s'il le souhaite.

La jeune femme regarde la femme gravée dans la pierre.

Crysa
<murmure:>Elle était très belle, et elle nous a fait cadeau d'une personne merveilleuse : toi !

Même Opale s'est tu regardant la statue dont elle vient doucement toucher le pan de la robe de sa petite main, comme une caresse.
Sans doute ne comprend-elle pas tout, mais elle saisit bien l'émotion du moment et reste calme et tranquille, et quand vous faites demi -tour, elle vient prendre ta main dans la sienne comme pour te signifier de ne pas être triste. D'ailleurs elle te jette de fréquents regards.
Heureusement les chevaux sont une distraction passagère..car si il ne semblent pas intéresser la petite plus que cela, les chats qui squatte l'écurie et chasse les souris eux, la font rire au éclats et lui permettent même des caresses sur leur fourrure, se frottant à ses jambes avec moult ronronnements.
Et a ta question Crysa répondra avec un sourire:
Crysa
Ce sera avec plaisir.. si tu arrives à arracher Opale à ses nouveaux amis !

En effet, la petite a trouvé de petits chatons qui ne demandent qu'a jouer avec elle et il vous faut toutes votre diplomatie pour expliquer à l la petite humaine que ce ne sont pas des poupées et qu'il faut les laisser là. Finalement, Opale accepte de vous suivre, la promesse d'un gâteau et celle de revenir bientôt ayant emporter la décision.
Le thé se passe tranquillement et  tandis que la petite retourne jouer dans la chambre récréative de Cathleen vous retournez  a nouveau dans les ouvrages obscures du sous sol
D'ailleurs, c'est là que vous retrouvez Kaïros et le directeur... Les deux concentrés sur leur taches.
Théodore a beau faire, il ne se souvient plus où sont les informations que vous cherchez et vous le comprenez. Ce fatras scientifique qui part de tout les cotés, vous abreuve de textes incompréhensible donne le tournis... Et quand vient l'heure du souper ,vous n'êtes pas plus avancées !

Mais Kaïros annonce immédiatement qu'il va y retourner après le diner, le jeune homme semble parfaitement à l'aise et peut importe ce qu'il y a lire, il aime cela.





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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #241 le: mars 03, 2025, 15:49:24 »
Je me demandais à quoi pouvait bien servir la salle d'arme, dans un lieu aussi calme. Un de tes ancêtres pratiquait l'escrime ?

Les jardins sont beaux, qu'il s'agit des lieux les plus entretenus, les plus sages, aux folles branches qui entourent sans crainte d'être tranchées la clairière qui abrite la .. mère de Cathleen.
Devant cette statue, devant laquelle elle verse ses paroles, je reste coi, me contentant de hocher la tête. Car je ne saurais que dire qui ne brise le moment, et je n'ai ... je ne parle pas aux statues, en général.
Ce moment me fait réaliser que je n'ai aucun souvenir de ma propre mère. Est-elle morte ? Est-elle en vie ?
Je l'ignore. Je n'en sais rien.

Un vide, mais étonnamment, qui ne me dérange pas. C'est ainsi. Peut-être que je m'en souviendrais un jour.
L'ai-je connue un jour ? Je ne saurais dire. Me ressemblait-elle ? Je ne saurais dire.

La mère de Cathleen lui ressemblait-elle ? D'après la statue, oui, en partie.
Elle tient aussi de son père.

Et la promenade se poursuit, jusqu'à perdre Opale au milieu des chatons. Pauvres petites bêtes, livrés à la merci d'une fillette aussi énergique. Je ne m'inquiète pas. Nous surveillions Opale, et ce n'était pas nécessaire. Les chatons vont bien et la petite aussi.

Un repas calme, presque intime maintenant que Ben, Eric et Anton sont partis. Ça fait bizarre, de ne pas les voir. C'est quand ils sont absents qu'on voit à quel point leur présence compte.
Que ce soit l’exubérance tapageuse de Ben, ou la présence solide et constante d'Eric.

J'espère qu'ils vont bien s'en sortir. L'un comme l'autre.

Quand Kairos annonce vouloir redescendre lire après manger, je n'ai bien sûr qu'une envie, en faire de même.
Mais je commence par consulter du regard mes amies, pour ne pas être égoïste. J'aimerais retourner lire, mais si elles souhaitent passer du temps ensemble, eh bien ... je pourrais toujours lire demain. J'ai le temps.
Nous avons le temps. Pour le moment.
 

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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #242 le: mars 05, 2025, 17:18:22 »
Finalement assez peu de questions ressortent de notre promenade.

J'explique à Rebacka que tout les hommes de la famille se doivent de maîtriser l'escrime.
Autant pour le plaisir de prouver sa supériorité dans cet art, que tout simplement pour se défendre.
Duels, conflits, ou mauvaises rencontres, sur des routes pas toujours très sûres, ne sont jamais bien loin.

Même si je n'en ai rien dit, je fus profondément touché par le recueillement de mes amis face à la statue de ma mère.
L'attitude d'Opale surtout.
Quand elle s'empare de ma main, comme pour me consoler, il est difficile de retenir une petite larme.
Et quand je m'avise de ses regards, je m'empresse de la rassurer d'un sourire.

Je suis tout de même un peu déçue qu'Opale ne s'intéresse pas plus que cela aux chevaux, tout en reconnaissant que les chatons représentent une source de distraction de premier ordre.

Le thé, les scoones et quelques pâtisseries plus alléchantes les unes que les autres, ont tôt fait de me ragaillardir.
Après quelques discussions diverses et variés, un copieux repas, je me sens prête à me remettre à la tâche.

— Je ne suis pas certaine d'être capable de veiller longtemps ce soir, mais rien n'empêche de reprendre un peu les recherche.
J'ai bien compris que Rebecka piaffe d'impatience elle aussi à l'idée de rejoindre Kairos dans ses recherches.
A Crysa,

— Ne te sens pas obligée de nous accompagner. C'est Opale qui compte le plus.
<pense:>"sans compter que je pourrai parler avec Père,"
que j'imagine également plongé dans quelque ouvrage.
 


 

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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #243 le: mars 06, 2025, 10:19:08 »
Rebecka de Barbier de la Serre
Rapidement après le repas, tu t'éclipses dans les sous sol , rejoignant Kaïros qui a déjoué le  système de sécurité à l'aide de simple cales, empechant les portes de se fermer.
L'ado trouvant pesant d'être systématiquement accompagné de Cath ou du directeur.
D'ailleurs il se plonge immédiatement sur les résumés holographiques qui semblent avoir sa préférence. Toi, tu continues a prendre les ouvrages compilés, de toute façons, tu le sais, vous le savez tous, rechercher les information équivaut à chercher une aiguille dans une meule de foin, et ce travail fastidieux tient plus du marathon que du sprint.

Cathleen
Crysa à un petit sourire, et vous souhaite une bonne nuit alors qu'elle se retire dans sa chambre avec sa petite presque endormie dans ses bras. Il faut dire qu'Opale s'en est donné à coeur joie dans les jardins se dépensant sans compter. Ton père lui, finit sa tasse de café tout en regardant pensivement la jeune femme quitter la pièce.
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #244 le: mars 06, 2025, 16:41:55 »
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #245 le: mars 06, 2025, 20:29:57 »
Je souris, démasquée et ravie de l'être.
Prenant Cathleen dans mes bras, je lui glisse à l'oreille :
<murmure:>Ne veilles pas trop tard.

Puis en rigolant, je les quitte et suis Kaïros, à temps pour découvrir son astucieuse solution pour franchir la porte.
Les livres ne sont pas passionnants, et certains sont peut-être survolés plus vite qu'ils ne devraient l'être, mais il y en a tellement. Mon but n'est pas de tout retenir, mais de tout scruter, m'arrêtant pour détailler les passages intéressants plutôt que l'ensemble de l'ouvrage.

Tranquillement. Et en essayant de ne pas trop bailler, car parfois, reconnaissons-le, c'est vraiment barbant.
 

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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #246 le: mars 06, 2025, 20:50:08 »
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« Modifié: mars 06, 2025, 22:18:27 par moontaz »
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #247 le: mars 13, 2025, 16:59:31 »
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #248 le: mars 14, 2025, 08:00:12 »
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Re : Monsieur le directeur
« Réponse #249 le: mars 17, 2025, 11:01:26 »
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« Modifié: mars 17, 2025, 16:11:57 par blackclaw »
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