Monsieur le directeur

[moontaz]

Eric

En descendant tu croises le Majordome qui te sourit aimablement.

Monsieur veut sans doute déjeuner ? Il ouvre le bras pour t'inviter à marcher devant. Monsieur trouvera ce qu'il lui faut dans la salle à manger, je vais vous faire apporter du café immédiatement. Monsieur, a-til besoin d'autre chose ?

[Eric(Fañch)]

Je secoue la tête avec un sourire.

Cela ira, je vous remercie.

Direction la salle à manger donc. L'hospitalité du directeur ne saurait être remise en question, ca c'est certain. Je me demande si d'autres membres de notre groupe sont déjà présents, si je suis le premier... Ou si je serai seul car très en retard ?

[moontaz]

Eric

Tu es seul dans la salle  et il y a seulement quatre couverts encore en place...Il semble évident que certains se sont levés plus tôt et sont déjà partis vaquer à leurs occupations. Rapidement une servante apporte une cruche de café bien chaud.

[Rebecka de Barbier de la Serre(Kaochi)]

Bonne nuit.


Et bon matin, le monde. Il fait beau. Mais est-ce le matin, ou est-ce l'après-midi ? J'ai si bien dormi, oui, si bien, que je ne serais pas surprise d'apprendre que l'après-midi tombe déjà. Je sors du lit, me drape d'une robe de chambre. Je sors sur le balcon, pour profiter de l'air et du beau ciel. Je ne pourrais pas en faire autant, une fois revenus au palais. Ou alors, moins. C'est peut-être mon dernier moment de calme avant longtemps. Alors j'en profite, longuement.

Quand j'en ai assez, quand j'ai longuement rêvassé, je finis par me décider. À rentrer, me préparer, m'habiller. Encore une fois, je vise la simplicité. Je ferais avec ce que j'ai, je ne suis pas contre l'idée de demander de l'aide. Contrairement à New Apple, les tenues impériales, surtout pour sa haute noblesse, n'ont pas grand chose de simplifié. Quels regrets. On est là pour y mettre un terme, mais il faudra faire attention à ne pas se faire bouffer.

Je disais donc, simplicité. Une robe sans complications, une belle robe vermillon, emporte ma décision. Des chaussures, des bottines, et les cheveux portés en simple queue-de-cheval. Ainsi prête, je descends. Pour le petit-déjeuner, ou le déjeuner, ou que sais-je, le dîner ? Je n'ai pas si faim, il ne doit pas être si tard.

[moontaz]

Rebecka de Barbier de la Serre

Tu finis par descendre, il le faut bien, et c'est pour trouver Eric attablé. Il est seul dans la salle à manger et le peu de couvert restant t'indique que certains sont déjà levés, tandis que d'autres non. En fait, une fois toi installée, seul deux convives manquent à l'appel.

["Ben"(Rhajzad)]

[Ce message contient une section privée que vous ne pouvez voir]

Réveillé. direction la salle d'eau, enchaînement de gestes presque rituels, toilette du matin et habillage le sourire aux lèvres.
La nuit fut belle... brillamment étoilée.
Je sors de ma chambre, hésitant à frapper à la porte de  celle de mes belles -d'où je me suis échappé subrepticement durant leur sommeil- culpabilité ? un peu... regret ? bien sûr.
Mais... c'est une nouvelle journée -déjà bien entamée ?- je repars à toute vitesse vers le rez-de-chaussée, en quête de nouvelles (d'elles) autant que de petit-déjeuner.
Et salue ceux qui sont là... Eric ? et Rebecka...
Plus deux couverts seulement... je demande au majordome qui est encore attendu -et des nouvelles des autres, bien sûr.

[moontaz]

"Ben"

Eric est en train de manger, Rebecka vient visiblement de s'attabler : son assiette est encore immaculée. Tandis que tu prends place, on t'informe qu'il ne reste que Dame Cathleen endormie. La petite demoiselle se trouvant dans l'ancienne salle de jeu de Dame Cathleen sur autorisation du directeur et sous surveillance de plusieurs servantes. Que Monsieur le directeur se trouve dans son bureau avec Monsieur Anton, Dame Crysa ainsi que le jeune monsieur. 

[Eric(Fañch)]

Je m'installe à table et remercie la servante, avant de me servir un café que j'avale d'un seul trait, puis m'en sert un second. Il me faudra bien ca pour rester réveillé aujourd'hui !
Je regarde tout ce qui est encore sur la table pour me servir à manger, j'ai une faim de loup !

A ce moment arrivent Rebecka, puis Ben.

Bonjour ! Vous avez bien dormi ?

["Ben"(Rhajzad)]

Me voilà rassuré, je prends place à table et me verse double dose de café.
Oh oui. Nul cauchemar... et toi, mon ami ?  Comment va l'épaule ?
Bonjour en retour. À vous deux. Nul n'aurait parié que Cathleen soit la dernière à table hmmm ?
C'est vraiment d'humeur simplement enjouée et sans aucune mauvaise pensée que je dis ça... en proposant service de café aux deux qui m'accompagnent.

[Rebecka de Barbier de la Serre(Kaochi)]

Bonjour Eric.

Et alors que je m'installe, j'entends du mouvement derrière moi, Bonjour Ben.

En tout simplicité, je commence à me servir, à me préparer une assiette, et je leur réponds, à ces questions que j'aurais moi-même posé s'ils n'avaient pas été plus prompts à les poser.
J'ai vraiment bien dormi. On a tellement discuté hier, ça a dû m'assommer.
En riant, je me tourne vers Ben :
À mon avis elle a dû rester discuter bien plus longtemps que nous. Mais c'était trop important pour l'assommer.

Je touille une cuillère dans ma tasse de thé.
C'est joliment romantique, leur relation. Si je m'étais doutée ... Mais je crois que je m'en doutais déjà, justement. Ou était-ce autre chose, ce rêve où elle vint en pleurs, me dire que j'avais raison, raison sur tout ?
Qui sait ? Le passé était un pays qui me reste étranger. Et c'est très bien comme ça.

[Cathleen(blackclaw)]

[Ce message contient une section privée que vous ne pouvez voir]

Je descends les escaliers à vive allure, ralentissant à peine si je croise du monde.
J'entre dans la salle à manger d'un pas plus mesuré.
— Bonjour! M'exclamé-je en avisant Ben, Eric et Rebecka. Bien dormi?

Après un rapide coup d'œil sur la table.
— Je prendrai des oeufs s'il vous plaît. Brouillés, et du jambon.
Aurions-nous des framboises? je raffole des framboises!
Ah, et pourriez vous faire en sorte qu'il y ait désormais un bouquet de Rose en permanence. Que je sois là ou pas.
Un peu plus tard dans la journée je voudrais avoir un entretien avec notre jardinier en chef.
C'est toujours le vieux Siméon?
Ces derniers mots sont prononcés d'un ton affectueux. J'ai toujours beaucoup aimé ce cher homme.

["Ben"(Rhajzad)]

J'ai acquiescé à la demande courtoise... muettement puisqu'il n'y avait guère de place pour un mot en réponse. Et je propose service de café à notre dernière arrivée -pas qu'elle ait l'air d'en avoir besoin-  apparemment affamée et manifestement survoltée, en attendant qu'elle arrive à se poser (pauser ?) à notre table, avec un grand sourire et plaisanterie de circonstance :
Voilà qui va ôter toute crainte : tardives conversations ne t'ont pas assommée.
Bien dormi, toi aussi ?

Parce que l'ambiance est à la détente, et que je ne me sens plus "investi" de moindre rôle de guide, maintenant que chacun a retrouvé... son rôle et son autonomie. À défaut de retour à bon port, nous avons réussi à rentrer "chez nous". Après dix mois d'odyssée...
Bien sûr j'ai pleine conscience que ce moment est idéal pour décider de la suite, mais... chacun, chacune a gagné le respect des autres, ici.
Et que son choix reste personnel... ou partagé, lui appartient.

[Rebecka de Barbier de la Serre(Kaochi)]

Je souris en voyant, non, en entendant le tourbillon Cathleen rappliquer. Je suis heureuse de la voir aussi animée. Elle mérite cette bonne humeur. Et même si elle ne la méritait pas, c'est mon amie, alors qu'elle soit d'aussi bonne humeur qu'elle veuille.

Bien dormi aussi.
Dis-moi, tu as l'air en pleine forme. Ne me dis pas qu'à peine votre petit moment privé obtenu, tu t'es endormie comme une masse ?

Je la taquine, elle le mérite, évidemment.

[Eric(Fañch)]

J'ai souri à la question de Ben.

Hé bien non, je ne m'en serais pas douté. J'ai plutôt bien dormi, et l'épaule se porte bien mieux que ce que j'avais craint, elle se remet très bien.

Il faudra encore sans doute quelques jours voire semaines pour que je ne retrouve à nouveau toute sa mobilité et son aisance, mais j'ai déjà largement assez récupéré pour qu'elle ne me gêne plus. En tout cas, plus de raideur ni de douleur, et c'est le plus important.
Alors que je me sers de quoi manger, je réfléchis à la conversation que j'aurai à avoir avec l'Empereur durant la journée. Je n'ai nulle hâte, très honnêtement, mais il va falloir passer par là, il me l'a bien fait comprendre. Et bien que je ne sache pas s'il sait vraiment que je faisais partie des Loups Gris, il doit le soupçonner, et je me demande comment me positionner pour la suite.

[Cathleen(blackclaw)]

D'un signe de la tête, j'accepte volontiers une tasse du café obligeamment tendu par Ben.
— Merci.
Tout en commençant à piocher dans tout ce que la table compte comme nourriture, dieu que j'ai faim,
— J'ai fort bien dormi, mais non je ne suis pas tombée comme une masse.
Notre... discussion, s'est éternisée encore plus longuement que je ne l'avais pensé.
D'où cette arrivée très tardive, pour laquelle je vous prie de bien vouloir m'excuser.
Je fais une bien piètre maîtresse de maison...
Nouvelle preuve s'il en est, je ne me suis pas encore enquise de savoir si votre nuit fut bonne.
J'espère de tout cœur que ce fut le cas.

En attendant les œufs et le jambon demandés, faire un sort à ce pain si appétissant qui me nargue juste sous mon nez, me semble de bon aloi.

[moontaz]

Après un petit déjeuner pantagruélique et aussi varié que possible. C'est l'heure de quitter la table pour entamer votre journée. Ceux qui décident de rejoindre le directeur prennent la suite de Cathleen[1] qui descend une volée de marches situées derrière l'escalier du hall, déverrouille une porte pour se retrouver dans un bureau tout ce qu'il y a de plus classique... et surtout vide.
Mais après s'être installée à celui ci , cath arrive à faire basculer l'énorme bibliothèque révélant un laboratoire immense, pourvus de machines, tables, consoles et terrarium diverses.
Cela vous aurai sans doute bien plus surpris quelques temps auparavant ,mais Elpos vous a vacciné.
A première vue, il semble vide...

1.	ceux qui ne le souhaitent pas , je leur laisse indiquer dans un post ce qu'ils souhaitent faire

[Rebecka de Barbier de la Serre(Kaochi)]

Quelle belle collection ! m'extasiais-je en découvrant les livres dans cette immense bibliothèque. Voilà qui me rappelle la maison, du moins le peu que je m'en rappelle. Oh, si celle-ci n'avait pas disparu si vite, révélant ces machines cachées derrière, je me serais dépêchée de m'emparer de quelques ouvrages pour commencer à les consulter.
En guise de consolation, le mystère de ces machineries.
J'entre sans précaution et sans patience, curieuse de tout, intriguée par chacune de ces choses.

Où sont les mondes rapetissés ? Dans ces aquariums ?

["Ben"(Rhajzad)]

J'ai laissé le temps à Cathleen de descendre de son nuage, pour le moins euphorisant, la bonne humeur étant un partage contagieux -et précieux-. Et son appétit -proverbial- trouvant enfin à s'exprimer, après notre odyssée en montagne et en rationnement.
...
Tandis qu'elle nous mène -tambour battant- jusqu'au bureau du directeur, j'en profite pour dire :
Si vous n'avez pas détruit l'espion de la Tueuse, il faudrait le conserver intact et probablement dans une boite métallique, pour empêcher les transmissions (à vérifier avec ton père). Il pourra nous être utile, pour envoyer un message à Cristobal via le LRT de New Apple, qui le relaiera aux machines... et lui apprendra qu'on a réussi. Un message codé puisque c'est d'abord la Tueuse qui est à l'écoute.
...
Bureau. Accès secret. Laboratoire. Je ne suis pas surpris.
Juste attentif... en attendant de voir où sont ceux que nous cherchons.

[moontaz]

Le bruit des pas du directeur, facilement reconnaissable grace au "cloc" métallique de sa canne sur le sol, se fait entendre, et vous le voyez arriver par la gauche, d'une porte ouverte que vous n'aviez vu, dissimulée à votre regard par les nombreuses machines.

Théodore

 Ah oui ! Ils sont là, vous aviez raison !

kairos

Je sais.. répond la voix détachée de Kaïros.

Voyant Rebecka, penchée sur un des terrarium.. il soupire avant de rajouter :

Théodore

Attendez, vous ne pouvez rien voir à l'oeil nu, il faut cela. Et il commence a sortir des montants de la machine des espèces d'énormes jumelles. Voilà. Là c'est la savane, là c'est un fond marin et là, une sorte de jungle tropicale. Regardez tout votre saoul, nous sommes dans les salles sur votre gauche quand vous aurez fini. On est déjà à l'ouvrage mais nous n'avons encore rien trouvé.

[Cathleen(blackclaw)]

C’est complétement absurde, mais dans ma tête, le fait d’être « aux commandes » pour laisser entrer mes compagnons, acte plus que tout le reste, ma position de directrice.
Une peu émue, je laisse mes compagnons explorer les lieux, gardant tout de même un œil sur eux. 

Où sont les mondes rapetissés ? Dans ces aquariums ?

Je réponds assez distraitement,
— oui tout à fait,
En omettant complètement d’expliquer à Rebecka comment faire pour en observer le biome.

Si vous n'avez pas détruit l'espion de la Tueuse, il faudrait le conserver intact et probablement dans une boite métallique, pour empêcher les transmissions (à vérifier avec ton père). Il pourra nous être utile, pour envoyer un message à Cristobal via le LRT de New Apple, qui le relaiera aux machines... et lui apprendra qu'on a réussi. Un message codé puisque c'est d'abord la Tueuse qui est à l'écoute.

Je réponds à Ben, cette fois plus attentive.
— Nous avons bien pris soin de ne pas l’abîmer et de l’isoler en attendant de décider quoi en faire.
J’ajouterai que l’idée est bonne, avec l’ajout d’une surcouche d’une discussion quelconque entre mon père et Anton, pour ne pas éveiller plus que nécessaire la suspicion de la tueuse.
Je ne sais pas ce que tu en penses, mais pour ma part, je ne crois pas nécessaire quel sache que nous nous sommes déjà retrouvés.

Mais déjà père nous rejoint.
Intérieurement je maudis ce bruit synonyme de la blessure de mon père et j’espère qu’il pourra rapidement se mouvoir sans signaler son arrivée à des lieues à la ronde.
Je me lève vivement à son arrivée,
— Bonjour Père, es-tu bien reposé ?

["Ben"(Rhajzad)]

J'ai bien sûr acquiescé à la réponse de Cathleen : j'ai bien parlé de codage, sans plus de détail, mais celui-ci sera autant dans la forme et dans les différents intervenants que dans le message lui-même, bien sûr, pour être opaque à la Tueuse et révélateur seulement pour Cristobal.
J'y ai déjà réfléchi.
L'arrivée du directeur retarde ma réponse... pas d'importance.
Je laisse les interactions se faire, et salue à mon tour son père, sans fioritures, prêt à le suivre illico vers le lieu de travail, laissant derrière, ceux qui s'intéressent à ses vivariums à lithium... sans commentaire.

[moontaz]

Le Directeur t'aura salué d'un signe de tête et d' un  "Ben" qui sonne plutôt amicalement, avant d'embrasser sa fille sur la joue.
Puis il aura laissé qui veut devant les jumelles géantes avant de faire demi-tour.
En le suivant, c'est une grande pièce que vous découvrez.
Crysa est installée à une table, tête dans les mains elle lit , ou du moins essaye, des courriers . Elle est si concentrée qu'elle ne vous entend pas arriver et ne lève pas la tête à votre approche.
Anton lui, est devant une sorte de pupitre qui affiche devant son visage des lignes qui semble bien incompréhensibles.
Lui, tourne la tête et vous sourit :

Anton

 Des renforts ! Magnifique ! On ne sera pas trop de tous .. Visiblement cette pièce ne contient que ce que Théodore a déjà lu ...Et pas toute la documentation dont il dispose. Mais c'est déjà près de trente ans qu'il faut relire au plus vite !

Quand à Kaïros, il a les yeux fixés devant un boitier rond qui projette un hologramme, semblable à celui que vous avez trouvé dans la tour de Matt. Un appareil sur ses oreilles doit sans doute lui permettre d'entendre son interlocuteur.

Autour de vous des étagères avec des livres, des classeurs, des boites, et tout un tas de bazar électronique.

Théodore

Toujours prêts ? Le mieux , c'est de prendre un livre et d'essayer de retrouver. Ou si vous préférez écouter.. j'ai encore un appareil pour que vous puissiez faire comme Kaïros.

[Rebecka de Barbier de la Serre(Kaochi)]

Je me plonge dans les jumelles et l'observation de ces mondes rétrécis. N'ayant jamais vu de savane, ni de jungle tropicale, ailleurs que dans les livres, je suis fascinée par ce que j'y découvre. C'est si ... différent. Je peine à croire que ce que je vois est bien réel.

Mais quand j'entends Anton, déjà à l'oeuvre, et le père de Cathleen donner des consignes, je tends l'oreille. Et puisqu'ils m'invitent à lire, je délaisse les jumelles, m'empare d'un ouvrage, et commence à le feuilleter. L'idéal serait de me trouver un bon fauteuil ... et une bonne tasse de thé.

[Cathleen(blackclaw)]

Passablement surprise par l'absence de réponse de mon père, je n'insiste pas pour autant et le suis.
Sans surprise, tout le monde est à pied d'œuvre.

— Un peu en retard les renforts.
Je réponds d'un ton léger à Anton, avant de m'emparer d'un ouvrage de prime abord peu avenant.
Aux images impersonnelles, j'ai toujours préféré le chaud contact du papier, la patine des livres anciens et le fait de devoir tourner les pages pour en déchiffrer la calligraphie.

[moontaz]

Pas de fauteuils confortables ici mais des sieges de travail, mais tu aura ton thé car Anton ira chercher café, boisson et en-cas après quelques heures de travail.
Vous comprenez un peu mieux le directeur en essayant de comprendre la charabia scientifique contenus dans les archives. Des pages et des pages de termes et de formules auxquelles vous ne comprenez rien. C'est désespérant ... Cependant à un moment Crysa lèvera la tête pour vous interpeler :

Crysa

Y a quelque chose ici ! Sur ce courrier !

Ce courrier est une lettre manuscrite signée de quatre personnes  Andor, le premier directeur ainsi que deux noms qui ne vous disent rien : Meloua Mesdemer, et Grifman Vondersieg.

Il precise que chacune des quatre parties a  reçu la clé d'Elpos afin que les décisions fondamentales soient prises en commun et non de façon unilatérale.