Je regarde ma sœur s'éloigner avec une légère appréhension, non pas pour nous, mais pour nos suivants. Et effectivement lorsque je la vois revenir en souriant, je comprends qu'elle a encore usé de ses charmes.
<murmure:>-Sur des pauvres Jotünns, tu es vraiment impitoyable.
Je lui dis bien sûr en souriant, bien conscient qu'elle nous a sorti du pétrin.