L'attitude de Catherine, entre inquiétude et ignorance de la menace, fit comprendre à Hiro qu'il était temps de se bouger. Il prit la shmeisser récupérée sur le cadavre d'un de ses ravisseurs, regrettant amèrement de ne pas avoir une arme de poing.
L'ouverture de la porte, le fit sursauter comme tout les autres. Sa main, si elle avait été trop proche de la détente lui aurait certainement fait lâcher une rafale.
Conscient qu'utiliser une telle arme dans la carlingue d'un avion était synonyme de suicide. Il préféra reculer un peu, tendant l'oreille de crainte que d'autre menaces ne rôdent à proximité.