Dans le bureau, tu te rends compte que la tigresse a du mal à soutenir ton regard au point de s’assoir dans son grand fauteuil en cuir décontenancé.« Caro, tu peux m’appeler Caro… »
Elle se frotte les bras puis t’invite d’un geste délicat à prendre place. « Tu n’as rien à te reprocher à part de ne pas te souvenir de qui tu es… de qui tu es réellement et ce n’est pas un auteur à succès, cela ne l’a jamais été, dans cette vie et toutes celle qui l’on précédé. »
Elle soupir puis enchaine avec courage en affrontant ton regard. « Je suis désolée pour ta famille… Je suis arrivé trop tard. Je n’ai pas pu vous protégez. C’était mon rôle. »
Elle semble avoir besoin de ton pardon... tu ressens un lien avec elle… comme avec ce petit garçon aperçut il y a quelques jours. Tu l’as regard et tu sais que tu es lié à elle.« Tu dois te souvenir, tu dois te rappeler de qui tu es sinon on va tous perdre. Tu nous as fait gagner tant de fois… pourquoi cette fois s’est différent ? Pourquoi t’as oublié ? Tu dois te rappeler ! »
Elle ouvre son tiroir et sort des livres se sont tous tes romans. Elle pose un à un devant toi avec brutalité. « A chaque fois, tes héros ont une double vie. A chaque fois, ils ont des envies de meurtres. C’est enfouis en toi, libère le, rappelle-toi de qui tu es. Vois-moi tel que je suis. Nous sommes une famille.
Ceux qui sont tombés seront vengés.
Rappel toi, je t’en prie, nous avons besoin de toi. Qui tu es ? Dis le moi ! Qui tu es ?»
[Tu te rappels que quand tu étais tout petit (en taille ^^) et prisonnier d’un sac à main dans l’obscurité, qu’une lumière douce et rosé a émané de ton visage. Elle t’as permis de voir dans l’obscurité
Re : Acte I, scène 3 [ S*CK ME I'M Pamplemouss ]
Tu peux faire un jet d’intelligence si tu souhaites prendre le temps de t’interroger sur toi-même.]