Vidar avança, non seulement car son père et son maitre lui avait sommé, mais aussi parce qu'il sentait déjà là son devoir prédestiné, en dépit de ses capacités divins.
Le silence régnait, et le vent soufflait sur le sol emplit de neige, ce qui n'empêchait pas Vidar de percevoir les traces de pas, qui par leur forme et leur aura permettait au Dieu silencieux de voir dans quelle direction se dirigeait l'inconnu.
D'un mouvement de tête à peine perceptible, il indiqua à ses frêres et son père le chemin de leur destinée, amenée à rencontrer l'inconnu.