Je démonte, rapidement à la suite d'Arthur, lui faisant incongrûment un signe de tête poli pour le prêt de sa monture. Je jette un œil aux deux chasseurs hébétés qui mettent pied à terre également. Je ne veux pas comprendre ce que j'ai vu, ou plutôt si, mais je ne veux pas m'en émouvoir. Trop de gens perdus en si peu de temps, je n'ai pas le cœur à être un bon ami.
Le visage blafard, mais fermé, presque froid, je vais récupéré Tristane des mains de la jeune Reanna.
Je crains d'être maudit.