Je baisse mon arc quand je vois tous les malfrats sortir. Il était temps là. Je m'éloigne un peu des autres, le corps encore hérissé de trois flèches. J'ai un peu de mal à me déplacer... Je m'arrête quand je suis à peu près sûre que rien ne me gênera plus et je brise les fûts au plus près des plaies. Je verrais ça plus tard, je présume que ce n'est pas le moment. J'essaie de parler normalement.
Bon... On redescend alors ? dis-je les dents serrées, une petite goutte de sueur glissant sur mon front.