Planète Rôliste: Le jeu de rôle par forum

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Les Archives de Parties > [nWoDLite] Missing Boy

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image Ladaline:
octobre 20, 2016, 00:30:09

Je prends mon air le plus sérieux pour saluer les grands parents de Peter.
"Ne vous inquiétez pas, on bouge pas d'ici, on veille sur Ashley jusqu'à votre retour."
Je regarde du coté d'Ashley et je lui fais un petit sourire qui se veut rassurant. J'attends que les vieux se soient éloignés pour continuer.
"Tu sais, c'est pas forcement grave... il est peut être juste en train de cuver dans un coin, il est pas rentré de la nuit ?"

image Nouveau venu:
octobre 20, 2016, 00:41:55

Je salue le grand père d'Ashley et de Peter avec gravité.

- Bien sûr Monsieur, vous pouvez compter sur nous.

C'est curieux, j'ai beau être sincère, que je dise ça avec Jared sur le même ton sérieux que lui, ça me rappelle les moments où on faisait des conneries à Chicago et qu'on jouait aux enfants de chœur innocents après. 

Puis je me retournes vers Ashley :


- Tu viens donc juste d'arriver ? T'es là depuis quand ?

image blackclaw:
octobre 20, 2016, 13:36:45

Le brusque départ de mes grands-parents, annoncé de but en blanc par Grandaddy, me cueillit à froid.
— Ah ? Euh… c’est que j’aurai voulu… je ne terminai pas ma phrase, réalisant qu’ils n’accepteraient probablement jamais que je les accompagne ; et puis, ils avaient raison, mieux valait rester à proximité du téléphone.
— Dis-moi au moins ce qu’ils pensent de tout ça. J’espère qu’ils prennent toute cette histoire au sérieux, ajouté-je d’un ton inquiet sans même lui laisser le temps de répondre.

Après les avoir laissés partir, non sans les avoir embrassés tous les deux, j’invitai Stephen et Jared à s’asseoir. Il fallait que je m’occupe aussi bien l’esprit que les mains. Habituellement je me serais plongée dans une attitude quasi autistique à laisser le fusain parler pour moi. Mes pensées étaient encore trop tumultueuses pour cela. Je ne pouvais non plus abandonner les garçons, eux-mêmes visiblement secoués et je me connaissais suffisamment pour savoir que si je me retirais dans ma bulle, le téléphone pourrait sonner aussi longtemps qu’il le voulait sans que je l’entende.

— Vous voulez boire quelque chose, du café peut-être nous, nous avons une machine qui fait d’excellents latte et je crois qu’il doit y avoir des biscuits quelque part… j’avais complètement oublié le plat que j’avais abandonné sur la desserte.
— Ou si vous préférez je peux préparer des sandwichs... Je continuai de parler, véritable moulin à parole aux propos plus ou moins cohérents. Mon cœur qui battait la chamade depuis que je m’étais levée pour ouvrir la porte, ralentit peu à peu. Je parlai moins vite, puis me tus et respirai un bon coup.

— Pardonnez-moi. Je suis effectivement arrivée ce matin et je viens juste de l’apprendre. J’ai encore du mal à réaliser.
Je commençais à me dire que nous ne pouvions pas rester les deux pieds dans le même sabot. Jouer les parfaites petites ménagères ne me le ramènerait pas. Qui le connaissait mieux que nous ? Dans cette ville, nous probablement et il y avait déjà un point que je pouvais vérifier.
— J’ai bien peur que ce soit sérieux, Granny et Grandaddy n’ont pas eu de nouvelles de lui depuis vendredi. Il devait passer la nuit chez une amie. Je terminai sur le ton de la supplique, si c’était un plan foireux pour un weekend comme vous en avez le secret, c’est le moment de le dire.

image Nouveau venu:
octobre 20, 2016, 15:05:50

Je vois Ashley s'agiter et lui souris en faisant un geste apaisant alors qu'elle soupire. Pour ma part, c'est un peu horrible à dire, mais j'étais surtout nerveux du fait de la situation et de la prise de contact avec les grands parents de Peter. Maintenant que je suis dans la place et qui plus est avec des personnes que je connais bien et qui me sont chères, je suis bien plus à l'aise.   
Peter, je lui en dois une grosse, mais je ne le connais pas plus que cela. Limite, cela m'atteint surtout émotivement par ricochet au travers d'Ashley :  Mon effaçage de dette, une affaire de principe, se double d'un devoir d'entraide plus naturel.
Haussant un sourcil alors qu'elle demande pardon de sa nervosité et parle de "notre plan foireux du week-end ", j'explique à mon tour :


- Tu n'as pas à t'excuser. Je te comprends tout à fait. Pour ce qui est de son week-end, je n'en sais rien, je viens d'arriver il y a même pas une heure, ici... et je ne pense pas que Jared l'ai vu non plus durant cette période je fais avec un coup d’œil interrogatif vers mon vieux pote. Pour être très franc, je ne connais pas trop Peter en fait.

Tu sais de quelle amie il s'agissait ?   

image Frah:
octobre 20, 2016, 20:44:51

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