Je m'approche du groupe : Blezian mal en point, Davog inquiet et Arthur subjugué... Enfin subjugué est peut-être un terme un peu fort mais il ne pensait peut-être pas que notre barbare tapait si fort.
Je réponds à Davog rapidement Euh... Ouais, j'dois avoir ça. 'Fin sur moi j'ai que du poison hein soyons clairs... Je claque de la langue, plusieurs fois, puis Tristane approche.
Puis je m'adresse à Blezian tandis que je fouille dans les fontes du cheval Et bien, on essaye de me faire concurrence sur la quantité d'hématomes et de blessure crasses? Je te préviens, pas moyens que je te prêtes mes infirmières ! essayé-je de plaisanter, malgré la situation peu réjouissante. Je continue à trifouiller partout et trouve les compresses et le baume que m'avais donné Marge pour ma tête.
Vas-y... Montre. Je me débrouille avec ça. Juste quand j'ai le choix, je préfère qu'une jolie demoiselle s'en occupe, plutôt que de me panser seul.